Chronologie d'un amour naissant, premier épisode^^ [Zéphyr] SUJET TERMINÉ

Voilà quelque temps que c'était produit l'incorrigible erreur, Zéphyr et moi, c'était fait prendre à la bibliothèque par sa petite soeur. Pourquoi pas une autre personne ! Soupirant, depuis ce jour, nous gardions la distance l'un de l'autre et je devais dire que c'était difficile, mais il fallait bien faire cela.

Ce soir, après que tout le monde soit parti se coucher, je décide d'aller à la réserve, pour me remplir l'esprit d'autres choses que de lui. Y allant dans la plus grande discrétion, je passe alors la bibliothèque silencieuse et sombre. Pourquoi, fallait-il que je mette à chaque fois dans des soucis ? Enfin qui parle de soucis, pour le moment, je n'ai croisé personne et personne ne sait que je suis là. Bref, arrivé à la réserve, j'allume ma baguette grâce à un sort et cherche la rangé que je souhaitais et surtout les livres des sortilèges informulé. Je lisais beaucoup ses livres et je dois dire que c'était vraiment intéressant...

Pendant une bonne heure, j'ai lu sans m'arrêter, mais cela se termina bien plus vite que je le pensais. Entendant le concierge demandé s'il y avait quelqu'un, je sursaute et ferme vite le livre. Le rangeant à la suite vite fait, je commence à me cacher et quand celui-ci passa et parti un peu plus loin, je me mis à courir silencieusement afin de sortir de là.

Arrivée au-dehors de celle-ci, je sentais que celui-ci me chercher et il ne finira pas sa ronde sans m'avoir trouvé, du moins sans avoir trouvé quelqu'un dans les couloirs ou autre. Descendant au troisième étage afin d'être à l'opposé de la bibliothèque qui se trouvait un étage au-dessus. Je marche sans faire attention vraiment où je pars, le temps que je me dirige vers mon dortoir. Arrivant dans un couloir, je peux voir derrière moi une ombre grâce à une lumière. Un professeur peut-être, le concierge ne pouvait pas directement arriver ici.

Marchant plus vite, je regarde derrière moi et m'éloigne vite de la personne qui tournée dans l'étage. Quand j'arrive alors proche de la statue de la sorcière borgne, elle me donne toujours des frissons celle-ci, et cela, à chaque fois que je passe à côté. Me sentant alors tiré, je me retiens de crier et me retrouve contre un mur. Levant alors la tête vers la personne qui met tiré du couloir afin de me retrouver où je suis actuellement, je peux voir que c'est Zéphyr. Le tapant alors doucement, je lui dis par la suite, avec un sourire qui vient à mes lèvres :

- Tu m'as fait peur, idiot.

Pfff est oui, c'est ça de se promener le soir dans un grand château !

Une poignée de jours avaient passé depuis l'incident de la bibliothèque. D'un accord commun Bella et moi gardions nos distances. Ce n'était pas chose facile. Je la voyais chaque jour dans les couloirs et en cours. Je passais d'ailleurs ceux-ci à l'observer. Dés que nos regards se croisent, j'ai du mal à ne pas me lever pour l'embrasser.


Plus les jours passaient plus l'éloignement devenait une torture. Je voulais la sentir dans mes bras la serrer contre moi. Putain, elle m'obsédait complétement. Mes nuits, je les passais enlacer avec elle. Je n'en pouvais plus j'allais devenir dingue à force d'être loin d'elle.


Ce soir-là n'arrivant pas à dormir, je faisais un tour dans le château. J'étais en train d'examiner un passage secret dont mon père m'avait parlé. J'étais devant la sorcière borgne, je prononçais la formule et je vis la sorcière bougée. Derrière se trouvait un espace assez grand pour se cacher. J'entendis des pas, je refermais le passage sur moi en laissant un interstice pour voir le couloir. Je vis passer Bella. Sans réfléchir, je l'attirais à l'intérieur.


Bien que surprise, elle ne poussa pas de cri. Elle me tapa doucement puis me sourit.


"- Je ne voulais pas te faire peur mais pour te dire la vérité j'ai juste vu l'opportunité pour faire ce dont j'ai envie depuis des jours !"


Ne lui laissant pas le temps de me demander de quoi j'ai envie, je la pousse contre le mur et l'embrasse.

Attirais à l'intérieur de ce passage, je ne le connaissais pas et voilà que je m'y retrouvé avec Zéphyr. Lui et moi n'arrêtons pas de nous regarder discrètement et pourtant, l'envie d'aller vers lui et de l'embrasser ou même juste être dans ses bras, était insurmontable, mais pourtant nous tenons le coup. Jusque maintenant...

Je me demandais vraiment ce que celui-ci faisait ici seul dans le château. N'arrivait-il pas à dormir lui aussi ? Dans tous les cas, à cet instant, celui-ci fut devant moi et j'en suis heureuse, car depuis tout ce temps, nous ne pouvons pas nous approcher, n'y même nous frôler. Il fallait que notre relation reste encore un secret, jusqu'à ce que nous soyons prés à le dévoiler.
Bref, j'étais à croc à celui-ci et je ne pouvais pas le montrer, alors je peux dire que cela était vraiment difficile. Donc, attirais à l'intérieur du passage, je n'avais pas crié, mais pourtant, j'en avais eu envie. Bien sûr, je ne pus m'empêcher de la frapper après avoir vu que c'était lui.

Entendre sa voix, me fait tellement du bien, surtout avec ce qu'il disait. Ce qu'il a envie depuis des jours, c'est-à-dire ? Sans même pouvoir le demander, je me sens pousser contre le mur et sens par la suite ses lèvres sur les siennes. Qu'est-ce que j'attendais ce moment avec impatience. Prolongeant son baiser, je passe l'une de mes mains dans ses cheveux tout en même temps. Qu'est-ce que ce contact m'avait manqué. Après avoir rompu le baiser, je le regarde dans les yeux et lui dis avec le sourire :

- J'aime vraiment beaucoup, ton envie.

Entendant une personne passée dans le couloir, j'espérais vraiment qu'on était bien caché, là où l'on était. Regardant alors qui s'était, je pouvais juste voir que c'était un professeur qui faisait la ronde. Mon regard de nouveau sur celui pour qui mon cœur battait en secret, j'ajoute à voix basse :

- Que fais-tu ici à cette heure-là ?

Elle répondit immédiatement à mon baiser. Je sentais ses mains dans mes cheveux. C'était un moment que je pourrais qualifier de parfait. Je ne voulais pas que celui-ci s'arrête. Elle rompit le baiser et me regarda dans les yeux avec un sourire qui me fit fondre complètement.


"- Ah oui ? Mon idée te plaît ? Et celle-ci"


Je la repoussais encore plus contre le mur et l'embrassais avec passion. j'étais en train de me perdre à nouveau. Je réalisais mon comportement et arrêtais le baiser. Une personne passa sans le couloir et je pris Bella dans mes bras comme pour la protéger. Elle voulut savoir ce que je faisais hors de mon lit à cette heure-là.


"- Je n'arrivais pas à dormir une certaine jeune femme faisait tourner en bourrique mon cerveau."


Ma phrase sembla la laisser perplexe, je décidais donc d'être plus claire. Je l'en laçais et lui soulevais délicatement le menton pour que nos yeux puissent se regarder.


"- J'arrêtais pas de penser à toi. Je crois que l'éloignement ne me réussit pas. Tu me manques !"


Me rendant compte de ma déclaration, je prenais une voix profonde et très sérieuse.


"- Tu te rend compte que maintenant que tu as entendus ça je vais devoir te tuer ?"

- Ton idée me plaît très bien même.

Le sourire aux lèvres, qu'est-ce que j'avais été bien quand il m'a embrassé et je voulais qu'il le refasse. Quand il me dit et celle-ci, celui-ci me repousse encore plus contre le mur et m'embrasse avec passion. Je me sentais me perdre à nouveau, il ne fallait pas. Il fallait que je me controle. Le sentant rompre le baiser, je ne le force pas à recommencer, il fallait que je prennes sur moi et que je me calme. Oui il m'avait manqué, tout entier même,  sa voix, son sourire, ses gestes, tout de lui me manqué.

Quand on entendit quelqu'un dans le couloir, celui-ci me prit dans ses bras. Est-ce une protection venant de lui ? Était-il protecteur avec moi ? Une grande parti de moi, le voulais. Puis, je lui demande se qu'il faisait là, hors de son lit. Il me répondit qu'il n'arrivait pas à dormir à cause d'une certaine jeune femme qui faisait tourner en bourrique son cerveau. Le sourire de coin, est-ce moi, la jeune femme ? Après avoir prit délicatement mon menton, afin que nos yeux puissent se regarder, celui-ci répond à ma question qui avait traversé mon esprit.

L'entendre me dire qu'il n'arrête pas de penser à moi, que l'éloignement ne lui réussissait pas et que je lui manquais, me faisait chaud au coeur. Ça me faisait bizarre d'entendre ça sortir de sa bouche étant donné qui il était, mais ça me touchée. Et savoir que je lui manqué me faisait plaisir.

Prenant une voix alors profonde et très sérieuse, celui-ci me dit que comme j'avais entendu cela, il va devoir me tuer. Cela me fait bizarrement sourire, pourtant il avait l'air sérieux, mais je ne pouvais le croire. Mon regard dans le sien, je lui dis :

- Me tuer ? Tu es sûr ?

Me posant contre le mur et mes mains également, je ne peux m'empêcher de mordre ma lèvre inférieure. Oui, j'étais en train de le draguer ouvertement, s'était plus fort que moi.

 - Et si, je te disais que toi aussi tu m'as manqué, tu voudras toujours me tuer ?

Je ne voulais pas que se moment s'arrête et pourtant, il fallait que je me calme et que j'arrive à le calmer aussi. Pourtant ses moments avec lui, je ne voulais les arrêter. Je me sentais tellement bien après tout. Pourquoi devais-je arrêter un bonheur pareil ?

Quand celui-ci voulu me faire peur, en me disant qu'il allait devoir me tuer, cela me fait sourire. Et sans que je puisse m'arrêter, je me recule contre le mur et mord ma lèvre inférieur.  Qu'est-ce que je faisais. Il fallait que je me calme, sinon la chaleur en moi ne partira pas et je ne pourrais résister longtemps.

Après ses paroles, celui-ci m'embrasse avec une grande passion, je ne pouvais me retenir plus et prolongea le baiser avec autant d'envie. Sentant son corps contre le mien,  je sentis ses mains glissaient sous mon haut afin de me caresser le dos et quand je l'ai sentis descendre vers le bas, j'eus une décharge dans tout mon corps. Mon envie était tellement forte et encore pire maintenant.

Je n'avais pas eu le temps de poser mes mains quelques part sur lui, quand je le vois rompre le baiser. J'avais envie de lui dire, non ne t'arrête pas". Mais quand celui-ci posa son front contre le mien, je pose mon regard dans le sien et ses paroles me firent fondre.

Un sourire tendre apparaît alors sur mes lèvres, je le faisais craquer. Comment ne pas sourire à cela. S'il savait se que j'éprouve pour lui, est-ce que cela lui ferai également plaisir ?

Posant alors l'une de mes mains sur sa joue, je lui dis doucement :

- Si tu savais se que ça me fait plaisir d'entendre cela sortir de ta bouche.

Je ne peux alors m'empêcher de reposer mes lèvres sur les siennes mais plus tendrement. Après que je rompis celui-ci, je le regarde dans les yeux de nouveau et soupire pour dire.

- Zéphyr, il faut que je t'avoue quelques choses. Cela ne concerne pas nous deux, mais moi. Enfin, je sais que cela va sûrement plomber l'ambiance, mais il faut que tu sâches.

Laissant un court silence, je baisse les yeux quelques instant et les relèves pour ensuite ajouter :

- Avant toute chose, tu peux me promettre que mes paroles, ne changera en rien se que nous sommes aujourd'hui ? S'il te plaît.

Il fallait que je lui dis, il fallait qu'il sache.

Ses mots m'avaient apaisé et pourtant après un doux moment, peu venir la tempête. Surtout avec la nouvelle que j'allais lui dire. Il allait m'en vouloir, je le sais. Pourtant, il était dans mon obligation de lui avouer. De lui dire qui j'étais devenu...

Mon regard dans le sien, j'avais du mal à me détacher de lui, j'y étais tellement bien.

L'entendre me dire qu'il avait deviner, que il ne me plaisait pas et que j'avais perdu un pari me fait sourire, surtout en le voyant rire. Cela me brisa d'ailleurs le coeur, de stopper un moment aussi magnifique par un accident qui m'a transformé à jamais. Mon regard sur lui, je vois qu'il reprend son sérieux en voyant que j'étais pareil et lui dis :

- Oh, je ne suis pas du genre à jouer avec les sentiments, surtout quand les miens sont aussi fort et perdu pour une personne.

Je perd alors le sourire en baissant la tête en entendant ses nouvelles paroles. Comment Allais-je lui dire ? Soupirant, je prends mon courage à deux mains et sans le regarder dans les yeux, dis :

- Même si je te dis que Lycaon m'a mordu par accident lors d'une nuit de pleine lune ?

Je savais qu'il allait comprendre, je savais qu'il allait le prendre plutôt mal. Je relève donc le regard vers lui pour continuer et voir sa réaction.

- J'ai été collé l'autre jour avec lui, parce que je lui avais laissé le droit de copier sur un devoir et le prof nous a ordonné d'aller faire une ronde avec le garde forestier. Je ne sais pas s'il avait pensé que c'était la pleine lune. Mais... Mais Lycaon avait oublié de prendre sa potion et par accident...

Voyant dans son regard que ça n'allait pas. Je m'arrête et m'approche de lui pour ensuite poser ma main sur l'une de ses mains.

- Ce jour là, j'aurais préféré mourir que d'être devenu se que je suis devenue. Dois-je vraiment regretter le fait d'être devenu un...

Monstre, oui c'était le mot que je voulais dire, mais je me retenu. Je soupire et ne pu retenir mes larmes en voyant sont regard. Me tournant alors face à la porte et me posant contre le mur, j'ajoute doucement :

- Je... Je suis désolé.

Je lui avais avoué que mes sentiments pour lui, est-ce une bonne chose ? Surtout après se que je voulais lui dire part la suite ?

Quand je lui dis que j'étais devenu un lycanthrope et que cette accident avait été fait par Lycaon, celui-ci dit qu'il allait le tuer.  Faisant non de la tête, je ne voulais pas qu'il le tue. Je ne voulais pas que sa colère lui fasse faire des choses qui pourrait regretter par la suite.

Ensuite, je lui expliqua l'histoire en global, je voyais que cela l'importer peu et que je venais de bousiller se qu'il y avait entre nous. Pourtant, quand je me recule contre le mur et que je ne pu retenir mes larmes, je le sens venir vers moi et à la suite de sa celui-ci me prit dans ses bras.

L'entendre me dire que je n'étais pas un monstre pour lui, me fait le regarder dans les yeux, pourtant j'en étais devenu un. J'avais envie de lui dire, mais aucun mot sorti de ma bouche.

Sentant ses lèvres sur les miennes, je le laisse me parler et me dire qu'il lui fallait juste du temps pour mettre ses idées aux clairs et que je ne devais pas croire qu'il me repousse, car ce n'était pas le cas. Qu'il lui fallait du temps pour qu'il s'habitue à cette idée.

Devais-je le croire ?  Quand celui-ci pose un dernier baiser sur ma joue, je ferme les yeux automatiquement et réussi à dire un simple.

- D'accord.

Je le vois alors partir après ça et en fit de même. Ce que j'espère issus c'est de ne pas avoir perdu ce qu'il y avait entre nous. Car même si pour le moment ce n'était pas vraiment une relation stable, je ne voulais pas le perdre. Partant le coeur serré vers mon dortoir. Je me couche en espérant de pas avoir tout gâché.

SUJET TERMINÉ