Une après-midi plutôt palpitante ! [Zéphyr] ~~~ [SUJET FINI]

Aujourd'hui fut une journée plutôt spécial, vous voudrez peut-être savoir pourquoi ? Autant commencer du début dans ce cas.

Ce matin était de plus normal, je me suis levé comme tous les élèves, j'ai été déjeuner et ensuite, je suis allée en cours. Chose normal vous direz pour une élève à Poudlard. A la pause du midi pour le repas, j'ai mangé avec mes deux meilleurs amis, quand le prochain cours allaient commencer je me suis levé et dit à mes compagnons, comme quoi on se rejoignait au cours que j'allais chercher mes livres dans mon dortoir.

Sur le chemin du retour alors que je m'apprêtais à me diriger vers mon cours d'Histoire de la magie, j'ai pu entrevoir du coin de l’œil un élève de faire martyriser par un autre. Cet autre n'était que Zéphyr Granger. Un Serpentard que tout le monde redoute. Chose normal, car il adore torturer ou faire souffrir les autres qui l'entourent. Bizarrement, pour ma part, il me fait froid dans le dos, mais ne me fait pas réellement peur, je suis très intelligente, alors tout ce qui peut faire ou dire me passe par-dessus la tête et qu'est-ce que j'ai horreur des personnes qu'ils se croient supérieur aux autres juste parce qu'ils sont dans cette maison et qu'ils ont une grande famille. Soupirant à ce moment-là, je prends mon courage à deux mains et me dirige vers lui. Peut-importe s'il était seul ou à plusieurs, je ne pouvais pas laisser faire ça, alors que c'était sous mes yeux.

Me dirigeant alors vers lui, ma main partit directement à son visage. Je ne revenais pas que je venais de le gifler, mais la chose était faite. Je lui dis alors à la suite sans attendre qu'il réagisse entre deux :

- C'est bon tu es heureux, tu t'es bien amusé.

Mon regard dans le sien était froid, je n'avais même pas eu l'intention de le baisser, mais le professeur du cours s'interpella en demandant si tout allez bien. Mon regard toujours sur lui, je réponds au professeur d'une voix neutre, que oui tout allez bien, qu'il n'y avait aucun soucis. Je n'avais pas l'intention de me mettre à dos ce Zéphyr. Je pensais déjà que j'allais le regretter avec la gifle que je venais de lui mettre et que d'ailleurs je ne l'avais pas loupé vu le rouge qui se trouvé sur sa joue. Aidant alors l'élève qui était sous sa "torture" à rentrer dans la classe, je ne savais pas comment allez être le reste de ma journée, mais je ne me laisserais pas faire, ça j'en étais sûr...  

La fin de journée se déroula sans encombre, j'avais pourtant l'intuition que ce n'était pas fini pour moi. Après la fin des cours, je me dirige vers mon dortoir et dépose mes affaires afin d'être tranquille le reste de la soirée. La seule chose que j'avais pris était mon livre de potion, demain j'avais cours et je voulais réussir à finir le sujet au j'en étais arrivé. Alors, oui j'étais bien avancée par rapport au cours, mais je savais que cela n'allait pas déranger la professeur.

Me dirigeant alors vers la grande salle, je m'arrête non loin de celle-ci à l'une des fenêtres pour pouvoir y jeter un coup d’œil. De là, je voyais le magnifique paysage et me dit que cela faisait longtemps et que pourquoi demain j'irais faire un tour à l'extérieur, pourquoi pas au lac...

Bref, une voix me sortis de mes pensées de sortir. C'était celle de Zéphyr, me tournant alors vers lui, je le vois avec quelques autres élèves de sa maison. Mon regard croisant alors le sien, je ne baisse pas le regard et me tient prête à voir venir les représailles.

Un matin habituel dans le petit monde Poudlard. Réveil, douche, petit déjeuner et ensuite cours. Que c'était d'un ennui. Depuis mon arrivée forcée dans cette école, mon seul moment de détente était quand je torturais un de ces imbéciles de sang de bourbe.


Ce matin-là, j'avais coincé un de ses idiots de première année. Rien qu'en me voyant, il tremblait sur place. Hum rien que ça me faisait frissonner de plaisir. J'étais entouré d'un groupe que certains décriraient comme une sorte de cour. Il fallait que j'assure le spectacle. Je lançais un sort qui donna l'impression à la première année d'avoir des milliers d'aiguilles entrant dans son corps en même temps.


Je sentais une excitation parcourir les gars autour de moi. Voir ce gamin se tordre de douleur était un beau spectacle. Niveau spectacle, je n'avais encore rien vu ! J'étais tout à mon affaire de torture quand une fille fit irruption entre moi et ma victime.


Avant même qu'elle dise quelque chose, je sentis sa main entrer en contact avec mon visage. Une vive douleur me saisit sur la joue là où sa main avait laissé une emprunte rouge. J'étais tellement surpris de l'audace qu'avait eue cette fille que j'en restais muet à la question qu'elle me posa.


Je la regardais aider le gamin puis partir. Un des gars posa la main sur mon épaule et je sortais de ma rêverie, pour aller en cour.


La journée se passa sans que je puisse arrêter de penser à cette fille et à cette audace qui je devais l'admettre me plaisais. C'était la première fois que quelqu'un osé m'affronter. Hum en y pensant, j'espérai que cela ne serait pas la dernière.


En fin de journée, je faisais un tour dans les couloirs avec ma cour quand je la vis à une fenêtre regardant dehors. Je m'approchais sans faire de bruit.


"- Heureux je n'irais pas jusque là. Amusé dans une certaine mesure oui ! "


Je la vis soutenir mon regard. Oh un défi, j'adorais ça ! Je sentais mon côté joueur sortir. Je faisais un signe de tête à ma cour pour qu'ils partent. Une fois seuls, je plongeais à nouveau mon regard dans le siens.


"- Nous en étions où ?"

Le voir se rapprocher de moi avec sa troupe, me fait rire intérieurement. Il ne sait vraiment pas se promener sans ses chiens de foires. Quand je l'entends alors me dire qu'il n'était pas jusqu'à être heureux mais qu'il s'était amusé oui. Levant les yeux au ciel, il me désespérait. Comment autant de filles peuvent être tombé sous son charme... Le voyant alors faire un signe de tête à ses sois-disant pote, je les vois donc partir et lui venir seul vers moi. Oh moins, là-dessus c'est clair, il n'a pas besoin de ses potes pour pouvoir se défendre contre une fille, c'est déjà un bon point.

Le regardant alors droit dans les yeux, je me colle contre le mur et écoute ce qu'il a à me dire. Où en étions nous ? À vrai dire, j'en ai aucune idée. Mise à par la gifle, il ne s'est rien passé d'autre. Un petit sourire sur mes livres et mon livre tenu contre moi, je lui réponds :

- Euh, je ne sais pas vraiment. Peut-être que ta joue elle le sait, c'est elle qui a prit la gifle pas une autre personne. Mais peut-être également que je n'aurais pas fait ça si tu aurais laissez ce premier année tranquille. Si tu aimes tant faire souffrir les gens qui t'entourent, fait toi souffrir toi-même ça sera plus marrent à voir.

Mettant un cours silence, je reprends :

- À moins que tu n'as pas envie d’abîmé ta belle gueule pour plaire toujours aux filles.

Bien sûr qu'il était belle homme, je n'allais pas le nier, peut-importe à vrai dire. Vu qui il était, lui et moi c'était impossible et je n'en serais pas triste... enfin je pense.

Je la vis se reculer jusq'à ce que son dos touche le mur. Finalement, elle me craignait peut-être un peu ! J'avoue que cette fille avait du cran et cela était assez rare face à moi. Cela me plaisait assez pour me sortir de mon isolement habituel.

Bien que je sois continuellement entouré d'un cour aucun de ces pantins n'avaient vraiment grâce à mes yeux. Cette fille osant s'opposer à moi et en plus me gifler me donnais envie de creuser plus loin. Je la vis me sourire et me sortir une tirade sur son acte d'héroïsme.

"- Tu veux me voir souffrir ? Alors montre moi ton cran et sois l'instrument de cette souffrance ! Ne pense surtout pas que j'ignore ce qu'est la souffrance ! Je sais la donner, car on m'a appris à la recevoir ! "

La suite me fit encore plus rire et d'ailleurs, je ne me privais pas pour m'esclaffer. Ainsi, elle me prenait pour le bellâtre de service. Elle avait donc cette image de moi ? Pourquoi cela me gênait ? Ce n'est qu'une fille, elle veut jouer à ça alors jouons !

"- Ma belle gueule ? Merci du compliment ! Je pense cependant que tu me confonds avec mon jumeau, c'est lui le tombeur pas moi ! Si tes sources t'ont dit le contraire et bien vérifie par toi-même ! "

Je voyais le livre entre elle et moi. Je le prenais pour voir de quoi il s'agissait. C'était un livre de potion de 6 ème année. Merde, j'aurais zappé un contrôle demain ? Non, je n'en avais aucun souvenir. De l’inquiétude pouvais se lire sur mon visage.

"- Attend je me souviens pas qu'il y ai un contrôle demain. Je me trompe ?"

Me reculer contre le mur, n'étais pas une crainte envers lui. Autant que je me mets à l'aise étant donné que je pense que la discussion allez être longue, car je n'allais pas me laisser marcher sur les pieds par celui-ci.

Le voir face à moi était intimidant, mais je n'allais pas pour autant me laisser abattre. L'entendre me dire de lui montrer, j'avais un sortilège qui me traversa l'esprit. L'un que j'avais lu en allant un soir dans la réserve. Mais avant que je puisse dire les mots à voix basse afin de lui montrer mon cran, j'écoute la suite de ses paroles et me fait lui répondre :

- Alors à quoi ça sert de montrer mon cran à quelqu'un qui ne l'a redoute pas. Je n'ai pas envie de me rabaisser à toi Zéphyr.

Le voyant à la suite s'esclaffer, je sers les points sur mon livre. Qu'est-ce qui le faisait rire comme ça ? Ce que j'ai dit ? Soupirant doucement je le regarde me dire de nouveau quelques choses. Jouait-il avec moi ? Autant rentrer dans son jeu un peu, sans pour autant faire ce qu'il souhaite par la suite, du moins tout dépend ce qu'il souhaite.

- Oh peut-être ou pas. Après comment veux-tu que je vérifie ? Si les filles craquent pour la belle gueule de ton jumeau, tu as la même et je ne fais pas allez voir ses pinbêches de Serpentard pour en savoir plus sur tes conquêtes ou celle de ton frère, cela ne m’intéresse pas.

Un sourire sur mon visage apparu quand je vois sur son visage une inquiétude. Qu'est-ce qu'il avait ? Je compris directement son sentiment en l'entendant me dire qu'il ne se souvenait pas qu'il y avait un contrôle demain. Wouah, le changement du tout au tout. Avais-je une personne sadique, mais sérieuse face à moi. Cela est vraiment intriguant étant donné que je ne m'attendais vraiment pas à ça.

Reprenant mon livre de ses mains, je le regarde et lui répond :

- Non tu ne te trompes pas. Je l'ai simplement avec moi pour relire des choses dans un coin tranquille.

Pense: Ou juste lire ce dont nous n'avons pas encore étudié.

Heureusement pour moi, celui-ci n'avais pas vu ma pliure de ma page, elle était tellement loin de où on était arrivé en cours.

- Tu es trop attentif en cours pour l'avoir loupé de toute manière.

Ce n'était pas de la moquerie, car oui, je m'étais déjà surprise de l'observer en cours, sa réputation était tellement étrange, on dirait qu'il avait une double personnalité et celui qui aime les cours ou tout simplement apprendre m'intriguer fortement.

Son regard exprimait des choses que sa bouche n'osait pas. Je vis ainsi que lorsque je lui ai demandé de me faire du mal une idée était venue à son esprit. Elle préféra attaquer avec des mots.


"- Ce n'est pas parceque je la connais que je ne la ressent pas ! Te rabaisser à mon niveau ? Tu veux dire t'y élever ! "


Elle doutait de ma parole ! Habituellement, j'en avais strictement rien à faire là ça me dérangeait. Oui Zach et moi avions la même tête mais entre jumeau ça arrive souvent. Pourquoi fallait-il que je réagisse comme ça.


"- Si tu veux des preuve fais moi boire du véritasserum et tu verras. Mais vu à quel point tu réfutes mes arguments ne serais-tu pas toi-même intéressé par moi ?"


Je sentais en moi une colère inhabituelle. Elle me sourit et pouf plus de colère, mais merde, il m'arrivait quoi là ? Elle me reprend son livre des mains et m'indique que non il n'y a pas contrôle et qu'elle ne veut que lire certains passages.


"- Tu relis pour ta culture personnelle ou pour essayer de me dépasser dans cette matière. Un coin tranquille ? Il y en a dans ce château ? Si c'est le cas, je veux bien savoir où ?"


Elle me dit que j'étais trop attentif en cour pour ne pas avoir eu une telle information. Cela voulait donc dire qu'elle m'observait pendant les cours. Intéressant et si je jouai un peu ?


"- Comment le sais-tu que je suis attentif en cour ? Tu m'observes ? "


Mon sourire taquin sur les lèvres, j'attendais sa réponse.

Je n'étais pas une Serpentard, j'étais une personne gentille. Pourquoi ce sortilège m'était venu dans l'esprit. Je ne voulais pas tomber à son niveau, je n'étais pas comme ça et pourtant, j'avais tellement envie de lui faire du mal comme lui en fait aux autres, seulement je ne sais pas, quelque chose m'en a empêché.

Mon regard toujours dans le sien, je l'écoute et réponds toujours avec le calme que je peux donner :

- Alors, si tu l'as ressent vraiment, pourquoi la faire endurer ? Par plaisir ? Non, je dis bien me rabaisser, arrête de te croire supérieur, tu ne l'es pas.

Oui, je disais ce que je pensais et oui, je savais que je pourrais le regretter, mais bizarrement, je n'avais pas peur de lui. Et plus on discutait, plus j'en apprenais un peu sur lui et ça ne me déplaisait pas pour autant.

Le regardant, j'avais l'impression qu'il commençait à s'énerver, pourquoi ? Parce que je le confonds avec son frère ? Mon regard toujours dans le sien, ses prochaines paroles me font sourire, il était vraiment bien connaisseur sur certaines choses...

- Je n'ai pas vraiment besoin de t'en faire boire. Ta réaction me suffit. Et pour ta gouverne non je ne suis pas intéressée par toi, ce sont plutôt les Serpentard qui ont ce privilège.

Je ne savais pas si le mot privilège était à dire, mais tampis c'était dit. Et puis, que voulait-il que je lui dise, que oui il était mon genre, mais vu comment il était, non. Cela ne se dit pas alors autant lui mentir et me mentir également à moi-même.

Le sourire sur les lèvres, je pause mes yeux sur mon livre et ensuite de nouveau sur lui pour lui répondre :

- À voir si je ne t'ai pas encore dépassé je te signale, mais sinon pour ma culture personnelle. Et oui, un coin tranquille, il y en a même plusieurs, mais si je commence à te les dire, ils ne le seront plus.

Alors oui, je lui avais avoué qu'il m'arrivait de l'observer. Ce qu'il me dit me fait sourire, jouait-il avec moi ? Mon regard posé sur le sien, je réfléchis un peu à dire ce que je souhaite lui répondre. Quand je trouve mes mots, je lui dis :

- Je t'observais comme j'observe d'autres élèves. Et puis, c'est bizarre, mais toi dans les couloirs et toi en cours, je ne vois pas la même personne.

J'avais été franche depuis le début autant que je continue comme cela. Et puis même si la plupart du temps, je dois avouer, je dois plus le regarder lui que les autres, autant le gardeur pour moi. Mais pourquoi ? C'était une bonne question, je ne veux rien me dire et surtout pas m'avouer certaine chose qui était peut-être enfuie en moi.

Oh comme ça elle pense que c'est se rabaisser pour être à mon niveau. J'allais lui montrer qu'il fallait un certain niveau pour réussir une bonne torture.


"- C'est ce que tu pense ? Alors regarde ! "


Je me lançais un sort. Une profonde entaille apparaissait sur mon visage. Et du sang se mit à couler.


"- Toujours pas impressionnée ?"


Je vis son regard changer. J'étais allé trop loin ? Merde, je déconnais encore ! Pourquoi fallait-il toujours que je foute la merde. J'effaçais le sort mon visage n'ayant rien.


"- Désolé ce n'était pas malin."


Ah, elle disait ne pas être intéressée. Comme si cela pouvait être possible. Je voyais son regard qui me détaillait, il ne manquait plus qu'elle passe sa langue sur ses lèvres pour indiquer encore plus qu'elle voulait que je l'embrasse. Et puis c'est vrai la voir fière devant moi me donner des envies que je ne me rappeler pas avoir connu.


"- Je me fous royalement des filles serpentard où de celles des autres maisons. C'est mon frère qui joue à Casanova pas moi ! "


Elle me regarde en souriant, merde qu'elle est craquante quand elle sourit ! Oh merde c'est moi qui pense ça ? Non ça ne se peut pas, je ne peux pas trouver une fille mignonne ou craquante. Je suis Zéphyr l'insensible. Il fallait que je récupère la situation, elle ne devait pas se rendre compte du trouble qu'elle faisait grandir en moi.


"- Qui te dis que je ne cherche pas un coin tranquille moi aussi pour pouvoir lire s'en être dérangé ou tout simplement pour m'isoler du brouhaha ambiant qui règne en permanence."


Elle m'observait donc ! Cela me fit sourire. Pas ce sourire que je réserve à ma cour, mais mon vrai sourire celui que seule ma mère à le droit. Voilà elle avouait tout. Je me sentis gonfler d'orgueil et je frissonnais rien qu'à l'idée de son regard glissant sur moi.


"- J'ai vu ton regard sur moi mais je te comprend car quand tu as l'excellence en face de toi comment ne pas la regarder ? "


Je rirais.


"- Sérieusement il y a peut-être l'image publique et la vrai. Mais je ne suis pas certain que nous nous connaissions assez pour que tu puisses creuser cela ! Bien que je sois déjà positivement étonné que tu aies vu une différence."


Mon sourire taquin revient.


"- Et toi ma belle Bella y'a t'il quelqu'un sous le masque de la connaissance ?"

Voir apparaître de son visage une profonde entaille, me donna envie de dire qu'il devait arrêter. Que c'était bon pour le côté torture, il était loin devant moi. L'entendant me demander si je n'étais toujours pas impressionné, me fait serrer les dents. Si j'étais impressionnée, je ne pouvais comprendre comment il pouvait s'infliger ça. Même moi, par le plaisir, je ne le ferais pas. Pour secourir quelqu'un, je me mettrais sûrement devant et accepterais surement prendre les coups à la place de l'autre, mais prouver que j'ai un bon niveau dans certain endroit là, je ne le ferais pas.

Voyant alors qu'il efface le sort de son visage, je lève ma main vers celui-ci pour y poser mes doigts. Je dois dire que oui, c'était un sacré sort, mais pourquoi me montrer ça ? Pour montrer qu'il est supérieur à moi, pour le côté torture ? Soupirant, je retire ma main en voyant mon geste et la repose sur mon livre pour enfin dire :

- Tu n'as pas à être désolé, tu as marqué un point sur le fait que oui, tu es loin devant moi pour le niveau torture, car je n'ai jamais appris à faire mal aux personnes qui m'entourent et pour être franche de mon côté, je ne vois pas l’utiliter. Alors oui, je pourrais torturer, mais ce serait par colère et non par plaisir.

Je baisse le regard après avoir fini mes paroles, mais le relève quelques instant après. Puis, je le vois me répondre comme quoi il se fou royalement des filles Serpentard ou de celles des autres maisons. Ce qui me fait un peu rire en le regardant, je ne peux donc me retenir de dire :

- C'est peut-être alors les mecs qui t'intéressent.

Je savais au fond de moi que ce n'était pas le cas, mais pourtant, j'avais envie de voir sa réaction. Le voir s'énerver pour rien me faisait sourire, surtout qu'il tombait à chaque fois dedans. D'ailleurs, je ne revenais pas que je rigolerais en sa compagnie. Est-ce qu'il m'intéresser vraiment ? Me mentirais-je ? Je ne devais pas et ne voulais pas. Je n'étais jamais tombé amoureuse au par avant, je n'allais pas commencer aujourd'hui à tomber sous le charme d'un mec, surtout de lui.

Entendre ses nouvelles paroles, me fait de nouveau sourire, il voulait vraiment un coin tranquille pour ça, cela me surprend tellement d'un côté, mais pas d'un autre. Je ne peux alors lui répondre :

- Peut-être que je te les dirais un jour alors, mais cherche bien, je suis sûr que tu pourras trouver toi-même.

Lui avoir dit que je l'observais en cours n'était donc pas une très bonne idée, voilà que monsieur prend ses grands airs. Alors oui, je le regardais, mais ça ne voulait strictement rien dire. Levant alors les yeux au ciel en l'entendant me dire qu'il était l’excellence. Je ne pus retenir un petit rire. Lui l’excellence, ben dit donc, il se croit vraiment parfait celui-là. Sérieusement, pourquoi ce double jeu, pour sa réputation ? Sa famille ?

- Nous nous connaissons peut-être pas, mais la vérité apparaît quand on regarde une personne. Mais, peut-être qu'avec le temps j'en serais plus sur toi Zéphyr Granger... Ou pas.

Son sourire taquin et son comportement actuel ne m'étais pas indifférente, il fallait bien l'avouer. S'il savait ce qu'il me faisait ressentir à cet instant, il se moquerait de moi. Pfff, il fallait vraiment que j'arrête et que je me ressaisisse, je ne pouvais pas ressentir des choses envers lui, c'était impossible.

Face à son sourire taquin et à ses paroles, je lui réponds un sourire aux lèvres :

- Il y en a sûrement, mais je ne suis pas sûr que ça puisse t'intéresser. Et puis, comme les personnes le disent souvent, le cœur d'une femme et un océan de secret. Pour ma part, la connaissance en fait partie.

Sa main qui s'approche de mon visage qui le touche du bout des doigts. Il y avait tant de douceur dans ce geste. Seule ma mère m'avait touché comme cela. Bien trop vite à mon goût, elle retire sa main avec un soupir. Aurait-elle voulu que le contact dur plus longtemps ? J'esquisse un geste pour rattraper sa main, mais me ravise.


"- Dans la tourture il y a forcèment une part de plaisir. Parfois, on n'a pas le choix de le faire. La colère est une bonne motivation ! "


Elle baise les yeux avant de les relever. Une lueur de défi dans le regard. Oh diantre voilà qu'elle pense que je suis gay. Mais comment peut, elle pensait ça ? Je me penchais sur elle effleurant les ses lèvres.

"- Est-ce qu'un gay te ferais autant d'effet sans même t'embrasser ?"


J'effleurais à nouveau ses lèvres puis reculer ma tête, je ne pensais pas, mais ne pas l'embrasser fut un effort sur humain. Elle ne voulut pas me dire où étaient ses petits coins secrets, elle voulait que je cherche par moi-même.


"- Et si je trouve un des tiens et que tu es dedans je gagne quoi ?"


Elle voulait en savoir plus sur moi. Est-ce encore une fois une personne qui en voulait à la grandeur de mes parents ? Non bizarrement, j'étais persuadé que ce n'était pas son cas. J'ouvrais grand les bras et je prenais la voix du dragueur de service dans un mauvais film.


"- Oh oui viens me découvrir ! Je te montrerai tout ce que tu voudras baby ! "


Et voilà qu'elle jouait la mystérieuse avec moi. Hum, je me sentais comme lors d'une chasse. Une excitation s'emparait de moi. Elle était en train de devenir ma proie. Mais cette fois-ci pas une proie qui finira morte ou quasiment là, je la voulais dans mes bras.


"-Tu me laisserais me noyer dans cet océan ? Si tu veux nous pouvons comparer nos connaissances et voir qui a le plus gros QI ! "


Oh oui, j'étais dans la merde cette fille me plaisait vraiment.

La douceur que j'avais mis dans mon geste, m'avait étonnée. Pourquoi autant de tendresse à son égard ? Pourquoi se soupire et l'envie que ça dure plus longtemps ? Il fallait vraiment que je concentre sur la situation et non sur autre chose. Il avait torturé un élève devant moi, voilà la première chose que je devais garder en tête, pas autre chose, pas un sentiment naissant alors qu'au contraire, je devrais le détester.

- La colère est peut-être une bonne motivation, mais ce n'est pas pour autant que je prendrais du plaisir à faire souffrir, sinon la formule que je m'étais dîtes en tête, je l'aurais formulé.

Repenser à cette formule, comment expliquer après ça que c'est dans les livres de la réserve que, je l'avais trouvé. Après avoir baissé mon regard, mes yeux se reposent sur les siens. Après avoir dit qu'il aimait peut-être gay, celui-ci se pencha pour effleurer mes lèvres. Mon coeur loupa un battement, qu'est-ce que... Mon regard dérivant vers ses lèvres, je relève le regard vers le sien et lui dis après avoir repris mes esprits :

- Qui te dit que tu m'as fait de l'effet ?

À cet instant, j'avais eu juste une envie, c'est qu'il me pose ses lèvres sur les miennes, mais pourquoi ? Un effort de ma part arriva plutôt brusquement, j'avais juste envie de le faire par moi-même, mais cela montrerais une faiblesse et je ne le voulais pas. Il ne devait voir en aucun cas qu'il me plaisait. Après tout, peut-être que c'était un jeu pour lui.

Je ne faisais même pas attention aux personnes qui passaient à côté de nous pour aller dans la grande salle ou ailleurs, ils devaient d'ailleurs être étonnés de voir une Poufsouffle parler avec un Serpentard et surtout celui-ci. Le sourire aux lèvres en entendant ses paroles, je lui réponds :

- J'aurais tendance à dire ce que tu veux, mais je vais me restreindre et te répondre ma compagnie, car je ne bougerais pas.

Le voyant alors ouvrir les bras et prendre une voix de dragueur de service, me fait rire. Je le regarde et fis non du doigt en lui disant juste après :

- Baby, oubli et c'est quoi cette voix, toi au naturel, c'est carrément mieux.

Un sourire aux lèvres:

- Pas besoin d'ouvrir tes bras pour que je te découvre, rien qu'à discuter avec toi en ce moment, j'en apprends de chose.

Le mystère était ma priorité surtout quand les choses me concerne. Peu de gens me connaisse vraiment. Est-ce raisonnable de m'ouvrir à lui ? Je ne savais pas encore et ne préférais pas pour le moment. Il fallait que je lui fasse confiance.

- À voir, peut-être. Comment veux-tu que nous nous comparions nos connaissances ? Et puis, tu sais, si j'apprends que c'est toi qui à le plus gros QI, je bosserais double pour te dépasser.

Oui, je jouais avec lui, mais pas méchamment, juste peut-être pour lui plaire. Même si je ne le devais pas, j'en avais envie.

Elle semblait regretter son geste. Mais pourquoi moi, j'en étais content de ce geste. J'en voulais encore de ce genre de geste tendre. Ainsi, j'avais eu raison, elle avait un sort en tête.


"- Je te mets en colère ? Pourquoi ? Et pourquoi ne pas l'avoir fait ? "


Je sentis le trouble qui l'a saisie quand j'avais effleuré ses lèvres même si elle s'en défendait. Que pouvais-je répondre à ça ? Que ce n'était pas seulement que j'avais senti son trouble, mais que c'était moi le plus troublé. Que si je n'avais pas eu un tel entraînement du contrôle de sois que je l'aurais embrassé depuis longtemps.


"- Je pourrais te répondre une certaine expérience de la vie mais en vrai c'est que j’espère peut-être un Echo à ce dont j'ai envie ? "


Ah non, je ne pouvais pas avoir dit ça ! Ce n'était pas possible, mais pourquoi ne pas l'attrapait pour aller dans une salle de cour vide et l'embrasser pendant que j'y étais ? Elle me proposait sa compagnie si je trouvais une de ses cachettes.


"- Si je te trouve je ne souhaite pas que tu t'en aille au contraire j'aime nos joutes verbales ! "


Oh putain, mais ce n'est pas vrai, je continue mes conneries. Il fallait que je me ressaisisse ! Je secouais la tête pour faire partir de mon regard le désir qui j'en étais certain pouvait se lire dans mes yeux.


Oh moins mon immitation du dragueur la faisait rire. On dirait que le nom baby ne lui plaise pas. Elle me voulait au naturel va pour le naturel.


"- Si tu me veux naturel je suis d'accord mais il y a trop de monde ici trouvons une de tes cachettes et je serais naturel ! "


Si j'avais été amateur de pêche, j'aurais dit qu'elle mordait à l'hameçon. Comment comparer nos connaissances ? Oh, j'avais une idée !


"- Allons dans une salle de classe et pose moi des colles et je ferais la même chose on pourra comparer comme ça ! Ça te dit ?"

Mon regard dans le sien, je n'avais pas envie de lui faire mal. Voilà pourquoi, je ne lui avais pas fait, mais allez lui faire comprendre sans qu'il se doute de quelques choses.

- Tout à l'heure quand je t'ai mis une gifle oui, tu m'avais mis en colère. T'attaquer à plus faible que toi, je trouve ça lâche, autant que tu prennes des personnes à ta hauteur. Et... Pourquoi je ne l'ai pas fait, c'est une bonne question, peut-être que je n'avais pas le cran comme tu l'as dit juste avant.

Ou peut-être que je ne voulais pas te faire du mal et montrer que je suis également capable de te faire souffrir. Mon trouble s'avait-il senti ? Je ne le savais pas, mais est-ce que lui était troublé par cela ? Mon regard dans le sien, mon souffle se coupe quand j'entends ce qu'il a à me dire. Un écho à ce dont il avait envie ? C'est vraiment ce qu'il a dit ?

- Et si c'était le cas, ça changerait quoi ?

Mes yeux se posèrent un peu sur ses lèvres et se remet vite sur son regard. Pourquoi je voudrais que sa change quelques choses ? Pour je voulais poser mes lèvres sur les siennes ? Il fallait que je me calme, je commençais vraiment à bouillir de l'intérieur.

Trouvera t-il l'une de mes cachettes ou allais-je un peu l'aider à en trouver une pour le revoir très vite. Un sourire aux lèvres, Voulait-il vraiment que je reste ?

- Alors, je vais te donner un indice, juste avant que tu arrives me voir, je regardais cet endroit. À toi de savoir maintenant ce que je regardais.

Le voir secouer la tête, je me demande vraiment ce qu'il lui prend. Voulait-il qu'on arrête de se chercher ? Pour ma part, il fallait que j'arrête tout de même et que je me ressaisisse. J'étais vraiment en train de tomber sous son charme.

Mon regard sur lui, fut à la fois étonné, mais aussi surprise de plaisir. Je lui dis alors :

- Trouve le lieu avec mon indice et on pourra y aller si tu le souhaites.

Me donnant une gifle intérieurement, qu'est-ce qui me prenait au juste. Je n'aurais pas dû dire cela, il va le prendre vraiment pour un défi et trouver le lieu.

- Hum... Pourquoi pas, mais maintenant, il faut choisir entre deux lieux, je te laisse donc la chance de choisir où tu désires aller.

Pour ma part, à cet instant, ce n'était pas la connaissance des cours qui me tenter, mais bien autre chose. Fallait-il qu'il le sache ?

J'accusais le coup de sa réponse. Je l'avais mis en colère d'avoir attaqué un plus petit que moi. Mais ce n'était pas de la lâcheté. Comment lui expliquait que je n'avais jamais connu rien d'autre ? Elle pensait ne pas avoir eu le cran de me jeter un sort. J'étais certain que ce n'était pas par manque de cran. Je voyais bien les regards qu'elle me lançait, je lui plaisais.


"- Bien au contraire il faut bien plus de cran pour résister à ses envies que pour y céder ! "


Elle plaisantait ? Ça ne pouvait être que ça ! Qu'est-ce que cela pouvait changer de savoir que je la troublais, que je lui plaisais ? Mais ne voyait-elle pas que j'étais au supplice de me retenir de l'embrasser ? Merde, je pouvais répondre quoi à ça ? Soyons sincère vu que c'est ce qu'elle désire.


"- Cela changerait bien des choses ! Si cet Écho existe, je ne serai pas en train de me retenir d'avoir envers toi des gestes tendres qui me sont normalement inconnus."


Elle me donnait un indice. Je regarde par-dessus son épaule et vois le lac. C'était un endroit où j'aimais moi aussi me retrouver seul pour lire ou réfléchir.


"- Si cet endroit est le lac je suis surpris de ne pas t'y avoir croisé avant. J'aime moi-même y aller pour m'isoler."


Était-elle en train de me donner un rendez-vous ? Pourquoi cela me fait autant plaisir. Je suis en train de sourire ? Merde dis quelque chose ne passe pas pour un idiot ! Je m'approche d'elle appuis une main sur le mur juste à côté de sa tête et de mon autre main remet une mèche derrière son oreille.


"- J'accepte avec joie ta proposition de rendez-vous. Dis-moi le jour et l'heure et j'y serais !"


Elle hésitait entre les deux lieux du coup à cause de ma proposition. Comment me sortir de là ? Ben, oui, faisons une pirouette ! Je prends sa main et lui baise doucement.


"- Gente Dame cela dépendra de ce que vous attendez de ce rendez- vous si nous allons converser ou si vous avez des idées plus romantiques en tête !"

J'avais du mal à le comprendre, pourquoi pour lui, c'était normal de torturer ? De prendre du plaisir à ça ? Peut-être qu'un jour, il arrivera à m'expliquer doucement et je comprendrais peut-être. En tout cas, celui-ci me dit que bien au contraire, il fallait bien plus de cran pour résister à ses envies. À cet instant oui, il me fallait bien du cran pour résister à ce dont j'avais envie, car mes envies étaient vers lui et je devais me l'interdire. Pourtant, je ne sais pas pourquoi j'avais tout de même envie de me lancer dans la gueule du loup. Vais-je devoir me faire ramasser à la petite cuillère ? Nous verrons bien cela. Pour le moment, je le regarde dans les yeux et lui réponds :

- Est-ce un compliment monsieur Granger ou je me trompes ?

Je ne savais pas quoi faire, je voulais le croire, j'en avais tellement envie, mais une crainte m'a fait demander qu'est-ce que ça pouvait changer si c'était le cas. Je voyais que ça le mettait hors de lui et à ses paroles, je compris pourquoi. Un sourire apparut d'ailleurs sur mon visage sans que je puisse le retenir. Est-ce que j'étais heureuse de sa réponse ?

- Ne te ret...

Ma voix fut coupée par ma meilleure amie qui m'appeler, elle était sérieuse. C'est la première fois qu'elle me faisait ça. Bon, c'est aussi la première fois que je me retrouver en train de discuter avec un Serpentard ou même un garçon (hors cours) et oui me faire draguer, n'était pas dans mes habitudes. Bougeant ma tête vers elle, je lui fais signe de tête et fait deux avec ma main. Celle-ci soupira, mais attendit.

Le voir trouver directement le lieu me donne le sourire, au moins, il n'a pas trop cherché. Je lui réponds donc simplement :

- C'est bien cet endroit et tu m'as peut-être jamais croisé parce que je suis bien cachée.

Le voyant alors s'approcher de moi, je pus sentir son souffle sur ma peau. Le mien par contre était court, profitant de son geste plutôt tendre à remettre ma mèche en place, je lui souris et commence même à mordre sans le faire exprès ma lèvre inférieur.

- Hum... De...

Étant de nouveau coupé par un toussement exprès de mon amie, je soupire et remet mon regard sur le Serpentard qui m'avais fait chavirer mon cœur pendant toute cette discussion, alors que ça aurait dû être le contraire.

- Demain, après le cours de potion.

Après le cours de potion, c'était la journée où on avait la possibilité de sortir hors de Poudlard. J'espère qu'il allait être là et pas sortir. Je verrais bien à ce moment-là. M'avançant alors vers son visage, j'effleure à mon tour ses lèvres et pour finir l'embrasse sur la joue. Quelle retenu dit donc tu as ma belle ! Après cela, je murmure doucement :

- À demain j'espère.

Passant à côté de lui, je laisse une main tomber de mon livre et lui frôle la sienne. Son baiser sur ma main, m'avait mis sur un petit nuage, imaginé qu'est-ce que ce sera quand mes lèvres seront sur les siennes.
Arrivée au milieu du couloir, je me retourne et réponds à ses dernières paroles, car je n'en avais pas eu le temps :

- Je dirais, pourquoi pas les deux Zéphyr. Je pense que même la deuxième option pourrait extrêmement me plaire.

J’espérais qu'il me comprendrait, je n'avais pas crié haut et fort que la deuxième option était le côté plus romantique. Lui lançant un dernier sourire, je me retourne et vers la salle sans m'arrêter à mon amie, je lui en voulais. Mais c'était l'heure de manger, je comprenais pourquoi elle s'était demandée quoi, mais j'aurais tellement voulu encore rester.

Il était plus que clair qu'elle et moi étions dans le même état. Je voyais sur son visage et dans ses yeux, elle avait envie de m'embrasser. Elle commença une phrase, mais elle s'interrompait en voyant une fille lui faire des gestes. C'était une amie à elle. Pourquoi, il avait fallu qu'on nous dérange. Ça m'énervait. J'avais l'impression que cette fille chamboulait tout en moi. Depuis longtemps non soyons honnête, c'était la première fois depuis ma princesse que mon cœur s'attachait à quelqu'un.


J'avais donc raison, elle allait au lac pour être seule. Alors comme ça elle se cachait bien ! Cela me donnait envie de la chercher un peu comme les œufs de Pacques. Mon geste tendre lui fit plus d'effet que je ne pensais. Je lavis se mordre la lèvre. Oh GOD ! Mais elle allait me tuer. Et ce gémissement hum !


Elle me donna rendez-vous après le cours de potion. Elle se pencha sur moi, effleura mes lèvres et embrassa ma joue. Waou cette fille était WAOU !


"- Je serais là sois en sûre !"


Je sentis sa main s'égarait sur ma main, j'aurais tellement voulu la retenir l'empêchais de partir. Je ne voulais pas que cette conversation se termine. Elle voulait à la fois une conversation et du romantisme parfait cela me convenait.


"- Alors nous mélangerons les deux ! "


Je la regardais partir vers la grande salle avec son amie. Mon regard ne pouvant se détacher de son corps.